
῝Suicides῝ politiques (II)…
05/06/2014 13:11
Le « Haddock d’Or 2011 » décerné au gendarme Francis Deswarte
J’ai décidé de créer un nouveau prix annuel, le « Haddock d’Or », à une personne qui, par son courage, a apporté un témoignage décisif à la lutte contre la corruption qui gangrène MON pays.
Et le premier prix, celui du « Haddock d’Or 2011 », est attribué au gendarme Francis Deswarte pour ses révélations sur la découverte du corps de « Robert Boule-Un », retrouvé "suicidé" le 29 octobre 1979 alors qu’il était ministre du travail de « Gys-Car-le-Viandard ».
Le témoignage de Francis Deswarte est très important car il fragilise un peu plus une classe politique lâche, corrompue et perverse.
https://www.youtube.com/watch?v=NUH1vhHhc44
Vous pouvez consulter à la suite de ce billet ses déclarations.
Notre démocratie est devenue sous « Myth-Errant » un totalitarisme mafieux dans lequel un chef d’état – en l’occurrence « l’Arsouille » en personne – a pu détourner en toute impunité une somme aussi considérable que celle versée par le Koweït à la France en 1991 au titre des indemnités de la guerre du Golfe.
Le larcin se monte à 3,5 milliards de dollars et il est soigneusement caché au public par la « Gôche-unie », mais aussi par la droite – on se demande pourquoi ?...
Il faut réaliser que la décomposition des valeurs démocratiques a commencée sous la présidence de « Gys-Car-le-Viandard », trafiquant notoire de diamants, et de son ministre « Jackouille la Fripouille » qui pourrait bien être le commanditaire de l’assassinat de « Robert Boule-Un », crime fondateur de notre totalitarisme mafieux.
« Myth-Errant », avec de tels prédécesseurs ne pouvait qu’aller plus loin dans l’ignominie et la monstruosité.
Merci à Francis Deswarte pour sa révélation ; il peut m’envoyer un mail pour entrer en contact et prendre possession de son prix : un dessin du « capitaine Haddock » se déchaînant !...
Et puis j’aime bien la collection de fusils de Francis.
Mille millions de mille sabords !...
« Amiral Karlson Padock »
EXCLUSIF - Francis Deswarte, le gendarme qui a découvert le corps du ministre le 30 octobre 1979 se confie...
https://www.youtube.com/watch?v=NUH1vhHhc44
Il se souvient encore de la gelée blanche qui recouvrait la forêt de Rambouillet (Yvelines), ce matin-là. Le 30 octobre 1979, Francis Deswarte a été le premier à apercevoir le corps de Robert Boulin à la surface de l'étang du Rompu.
A 70 ans, ce retraité de la gendarmerie témoigne pour la première fois dans 20 Minutes et met à mal la thèse du suicide, privilégiée par la justice depuis trente et un ans.
Comment vous êtes-vous retrouvé au cœur de l'affaire Boulin ?..
« A l'époque, j'étais chef à la brigade motorisée de gendarmerie de Poissy. Le 30 octobre 1979, vers 7 h, on nous a appelés en renfort aux étangs. La mission était de rechercher « une haute personnalité susceptible de mettre fin à ses jours ».
Beaucoup de monde a participé aux recherches ?
« Oui, il y avait des gendarmes, des policiers, des pompiers. On s'est réparti le secteur. Avec mon collègue, on est parti vers un petit chemin qui descendait. On s'est arrêté près d'un tas de bois pour fumer. Et derrière, j'ai vu une bagnole. Une 305. En levant les yeux, je l'ai vu dans l'étang. Il était à genoux. La tête hors de l'eau. Et il regardait vers sa voiture ».
L'enquête a conclu au suicide par noyade. Avait-il vraiment la tête hors de l'eau ?
« Oui, je suis catégorique. Robert Boulin n'est pas mort noyé. Ce n'est pas possible. Il était quasiment à quatre pattes. La tête hors de l'eau. Ma conviction, c'est qu'il tentait de ramper jusqu'à la berge. Et puis, il avait des traces sur le visage. Comme des griffures rouges ».
Que s'est-il passé ensuite ?
« Au bout de trente minutes, un ordre est tombé : nous avons été dessaisis de l'enquête. On m'a dit de rentrer chez moi. Je suis quand même resté sur place toute la journée ».
Avez-vous été entendu ensuite ?
« Ce n'est que deux ou trois mois plus tard que l'on m'a rappelé. Lors de l'audition, les policiers ont voulu me faire changer ma version. Alors que je parlais des traces sur son visage, ils m'ont expliqué que les pompiers avaient fait tomber le corps en le sortant de l'étang. Mais ce n'est pas vrai. J'étais là. Les pompiers l'ont sorti sans aucune difficulté ».
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