Le capitaine de frégate Paul de Bréveuil entre dans la légende (1/5)

23/05/2017 09:51

 

Introduction 

 

Durant ma carrière de pilote de ligne, j’ai pu faire, le 28 janvier 1994, une extraordinaire observation, celle d’un OVNI gigantesque, de près de 300 mètres, en vol stationnaire au-dessus de Paris, et qui s’est dématérialisé devant nous.

 

Cette observation étant indiscutable, car corrélée avec le radar au sol, j’ai été appelé à témoigner devant le « Comité OVNI » des anciens élèves de l’IHEDN présidée par le général Denis Letty.

 

Ce comité a ensuite publié en 1999 le « Rapport Cometa », préfacé par le général Bernard Norlain, et l’a remis au Président de la République, Jacques Chirac, ainsi qu’au Premier ministre, Lionel Jospin.

 

Cette publication a été retardée d’une année en raison de la parution du livre « The Day after Roswell » du Lt-Colonel Philippe Corso, héros de la deuxième guerre mondiale, et qui était en 1961 chef du bureau « of US Army Research and Development ».

 

Je fais partie des 1400 observations d’OVNI faites par des pilotes civils et militaires depuis 1945 et dont 15% sont corrélées radar, raison principale pour laquelle j’ai accepté de témoigner dans plusieurs émissions de radio et TV.

J’ai surtout participé le 12 novembre 2007 à une conférence au National Press Club (NPC) à Washington sur les cas d’observation d’OVNI les plus importants.

Ce qui m’a valu de passer en boucle sur la CNN pendant vingt-quatre heures.

 

Lors de cette conférence, j’ai pu rencontrer le Sgt Jim Penniston qui a témoigné sur son contact direct – il a touché un OVNI posé au sol – dans la forêt de Rendlesham le 27 décembre 1980.

Une observation parfois surnommée le « Roswell britannique ».

 

Il y a plusieurs témoins de cette observation dont John Burroughs, qui serait rentré dans l’OVNI, et le colonel Charles Halt, commandant la base de Bentwaters de la RAF.

Cette événement est largement documenté par la presse, les médias et internet.

Le plus extraordinaire dans cette affaire est le message envoyé par ce que l’on peut appeler une "sonde temporelle ». Celui-ci explique que cette machine vient du futur, de notre futur, et qu’elle a la capacité de voyager dans le passé, jusqu’à 40.000 ans avant son époque de départ…

 

Aussi, le dossier OVNI s’est enrichi ces dernières années d’une hypothèse absolument fantastique : le voyage temporel est possible, vers le passé. De plus, il est aussi absolument nécessaire de le maîtriser pour voyager dans notre Galaxie.

 

Le voyage temporel est l’un des sujets de prédilection des écrivains et des scénaristes de science-fiction.

Les possibilités de développement sont immenses tout comme l’est la nouvelle physique qui apparaîtra dans les décennies et les siècles qui viennent et permettra d’expliquer les caractéristiques de particules comme le boson de Higgs mais aussi les anomalies de rotation des Galaxies, l’expansion accélérée de l’Univers, et le voyage vers les étoiles.

 

On découvrira aussi des civilisations bien différentes de la nôtre dont les caractéristiques physiques sont vraiment surprenantes.

L’exemple le plus spectaculaire est la « vague d’OVNI de 1954 » où des centaines de témoignages enregistrés par la Gendarmerie décrivent des êtres aux caractéristiques les plus surprenantes descendus de leurs vaisseaux et s’approchant des témoins.

Un vrai « bestiaire galactique » !...

 

Bien sûr, on peut aussi imaginer que nos « Visiteurs » puissent être très semblables ou même identiques aux Terriens comme cela a été familiarisé auprès du public avec les « Men In Black » (MIB).

C’est le rôle des romanciers de développer des scénarios mettant les uns et les autres en relation pour des aventures extraordinaires.

 

Vous trouverez ci-dessous un texte rédigé par « I-Cube », fiscaliste et romancier, qui relate les aventures du capitaine de frégate Paul de Bréveuil dans son roman « Mains Invisibles ».

Celui-ci mène une opération commando de la DGSE destinée à libérer Florence, la femme de Paul de Bréveuil, prisonnière d’un groupe islamiste.

 

Une action menée avec l’aide de Birgit, une « WIB » sexy !...

 

Bonne lecture !...

 

Jean-Charles Duboc

 

Dans ce domaine, les chapitres les plus intéressants de « Mains invisibles » sont :

 

Le capitaine de frégate Paul de Bréveuil entre dans la légende (1/5)

Le capitaine de frégate Paul de Bréveuil entre dans la légende (2/5)

Le capitaine de frégate Paul de Bréveuil entre dans la légende (3/5)

Le capitaine de frégate Paul de Bréveuil entre dans la légende (4/5)

Le capitaine de frégate Paul de Bréveuil entre dans la légende (5/5)

 

Voyage temporel et Service Action du futur (1/3)

Voyage temporel et Service Action du futur (2/3)

Voyage temporel et Service Action du futur (3/3)

 

Chapitre VII : Libération de Florence (1/5).

 

Birgit

 

Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.

Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !

 

« Que puis-je pour vous, Birgit ? Un verre d’alcool fort ou un jus de framboise ? »

Un verre d’eau fraîche.

« Vous ne voyez pas d’inconvénient à ce que je me serve quelque chose de plus adéquat ? »

C’est mignon chez lui… « Ainsi, c’est ici que vit le « six coups de la rive gauche » quand il est parisien ! La vue (sur la cathédrale de Paris) est tellement sublime. »

Ouh là, ça commence mal… Le six-coups !

« Qu’avez-vous à me montrer de si confidentiel ? »

Et la voilà qui tombe sa veste légère, soulève son chemisier de l’intérieur de sa jupe…

« Oh là, ça, je connais déjà et je suis marié. On devait parler de ma femme, pas de la remplacer illico ! »

Elle a un sourire en coin un peu mécanique et sort une enveloppe elle aussi noire, grand-format, de dessous son corsage.

« Ce sont des photos satellitaires volées pour vous ! »

Pardon ?

« Prenez une loupe. N’est-ce pas l’immatriculation de votre hydravion, là ? » fait-elle en tendant des clichés tirés sur papier-glacé.

Oui, pas de doute. Mais qu’est-ce qu’il fait là au milieu de rien, en bordure d’un lac qui pourrait être artificiel ?

« Regardez la date et l’heure du cliché, en bas à droite ! »

Époustouflant ! Dimanche qui vient, alors qu’on n’est encore que lundi matin précédent, avant les aurores… qui passeront plus tard !

« C’est un faux grossier, vous le voyez bien ! »

Non : elle a seulement « des sources » … étranges !

« Expliquez-vous ! »

 

C’est justement pour cette raison que l’entretien doit rester absolument et strictement confidentiel, pardi !

« Je suis l’assistante de Herr Doctor Otto Von Schubkarre de l’école polytechnique Fédérale de Lausanne. Nous travaillons depuis quelques années sur la théorie des cordes et des conséquences sur la physique des champs… »

Encore des intellectuels qui se torturent les méninges avec de l’impôt local.

« Vous avez entendu parler du boson de Higgs ? »

Oui, bien sûr…

« Eh bien nous y avons travaillé. Mais par hasard, seulement parce que nous avons été, comment dire… « aidés » ! »

Toutes les aides sont les bienvenues.

« Oui mais là, il s’agit d’une énormité cosmique. »

Comment ça ?

« Disons que, pour faire simple, il s’agit d’une inversion de la flèche du temps. Notre futur nous guide dans nos recherches en somme. »

Délire, en pense Paul sur le moment !

« Nous en avions demandé des preuves. Et ce sont ces photos qui sont arrivés dans nos ordinateurs. Il y a d’ailleurs plusieurs mois, dois-je vous avouer.

Mais jusque-là, nous ne savions pas comment interpréter cette… cette farce !

Depuis, nos travaux sur les fameux bosons de Higgs ont pu avancer et nous sommes revenus ensuite à ces photos, jusqu’à comprendre de quoi il s’agissait. L’immatriculation de l’appareil m’a conduit jusqu’à vous ! »

Ce n’est pas vraiment son appareil : il y a une trace sur l’extrados de l’aile qui laisse supposer une dégradation ou un mauvais entretien du revêtement extérieur. Ce qui n’est pas avéré.

« Il suffit de repeindre l’immatriculation sur l’aile et vous avez été bernés ! »

Pas du tout !

Elle s’énerverait presque, la gamine !

« Je n’aurai pas fait le voyage depuis la confédération si je n’en savais pas plus ! Ne me dites surtout rien : votre épouse est retenue prisonnière par des « Soldat du Califat » en Algérie, autour de Biskra. Vous allez vous le faire confirmer par vos services secrets. Et vous devrez aller la chercher tout seul, parce que c’est indispensable pour la suite ! »

Quelle suite ?

« Je sais ce que je dis ! Elle est en train de mourir à petit feu et va perdre l’enfant qu’elle porte si vous ne faites rien. »

Quel enfant ? Le sien ?

« Louis de Bréveuil ! … Sachez que personne ne vous croira si vous révélez ces informations. »

Ça, c’est sûr ! Même lui a du mal à les avaler…

 

« Ce n’est pas tout ! Mardi, vous allez rencontrer des officiels chinois et vous leur proposerez d’aller travailler chez eux à propos de votre avion orbital expérimental.

Ce qu’ils cherchent depuis quelques années.

Sans même attendre de réponse quant au sort de votre épouse.

Vous allez me faire plaisir : vous le ferez à condition qu’ils organisent d’abord une rencontre avec le dictateur de Corée du Nord.

S’ils refusent, vous pourrez jeter cette photo et faire ce que vous voulez. S’ils acceptent, organisez l’évasion de votre Florence le plus rapidement possible ! Vous risquez de ne jamais la revoir vivante… »

Complétement démente, la Birgit, là !

« Et si je vous jette par la fenêtre, là, maintenant ? »

Il ne pourra pas ! « Et je serai obligé de vous violer ! »

Arf : « Vous pourriez me le demander gentiment, puisque c’est ce que vous voulez depuis le début ! »

C’est vrai qu’elle en meure d’envie, d’autant que ç’est marqué comme ça depuis toujours. Mais il n’a pas à savoir…

 

Un petit-bout de bonne-femme que Paul ne parvient pas à maitriser, tellement elle résiste à ses prises, toute en souplesse et force démesurée pure, telle que sa puissante musculature paraît bien faible au regard de la puissance que Birgit semble être capable de développer.

Incroyable : un peu un combat entre une colombe et un lion, ou le lion aurait le dessous…

Ils s’empoignent brutalement et violemment les mains à la façon de catcheurs et c’est Paul qui a invraisemblablement le dessous, obligé de mettre genou à terre.

Elle échappe à plusieurs balayages des jambes et là encore c’est Paul qui se retrouve déséquilibré et sur le ventre, entravé.

Il perd la forme…

Elle finit même par lui bloquer les bras et les jambes avec des clés qui l’immobilisent totalement en parvenant aussi à le retourner sur le dos.

Incroyable : il étouffe et ne peut même pas appeler à l’aide la « voisine au chat » !

« Ce serait plus facile et moins douloureux si vous vous laissiez faire », fait-elle, sûre d’elle-même !

De toute façon, il est rapidement entravé et bâillonné en travers du canapé.

Inexplicable.

Et alors, avec un sourire malicieux, un calme presque olympien, elle prend son temps pour le déshabiller, les yeux brillants… qu’elle a d’un bleu acier intense.

 

(Aparté n° 1)

 

Paul ne parvient pas à se libérer le lendemain-matin. C’est Nathalie, la voisine à l’œil myosotis qui diverge, venue récupérer son chat qui le fait pour lui.

Absolument ravie de mirer la nudité de Paul sous son drap.

« Adepte du sadomasochisme ou juste un essai ? Parce que je ne dis pas non à telle expérience avec toi !... »

Elle avait déjà goûté « aux charmes » de Paul.

« Je n’ai pas la tête à ça et je suis devenu père de famille, depuis la dernière fois ! »

Et alors ?

Sage comme une image…

« Oui, je vois ça, effectivement. »

A-t-elle vu quand est partie son « agresseuse » ?

« Non. Dans la nuit je suppose, pour avoir entendu l’ascenseur fonctionner. »

Il faut dire que depuis qu’il a été « mis aux normes », l’appareil « cogne » bruyamment en descente.

Elle doit se faire une raison même quand ça la réveille, parce que sa chambre est proche de sa salle de bain qui est contiguë à la cage dudit ascenseur.

Il y a urgence : Paul doit passer à Levallois pour essayer de croiser les informations fournies cette nuit et ensuite au quai d’Orsay pour préparer le rendez-vous du lendemain chez les chinois.

Birgit a heureusement laissé ses clichés : ce sera plus simple de convaincre les fonctionnaires du service.

 

Des clichés satellitaires arrivent par ailleurs entre les mains de quelques experts mis à disposition par le service. Pas de doute, on peut reconstituer les allers et venues de plusieurs appareils suspects autour de Rouen.

Peut-être qu’il faut envisager une opération d’exfiltration héliportée en Algérie. Mais ça va être compliqué d’obtenir l’aval des autorités, surtout locales.

Ou en tout cas ne serait-ce qu’un feu vert « politique » des ministères français concernés.

« Plusieurs jours. Au bas mot, une semaine, même si on mobilise tout de suite les réseaux sur place pour les repérages indispensables. »

 

On est fin août et l’opération lancée par les services, sans autorisation au démarrage n’aboutira pas, ou seulement sur un fiasco, avant la troisième semaine de septembre.

En effet, les relations entre services secrets franco-français et franco-algérien ne sont pas au « beau-fixe ».

Parce que d’une part, la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) qui résulte d’une fusion entre RG et DST, annoncée le 13 septembre 2007 par la ministre de l'Intérieur de l’époque, Michèle Alliot-Marie, n’est pas encore totalement digérée.

Les textes fondateurs de la DCRI sont adoptés le 7 avril 2008, avec une date d'application effective au 1er juillet 2008.

Une partie des anciens fonctionnaires des Renseignements généraux intègre à ce moment-là la sous-direction de l’Information générale (SDIG) de la direction centrale de la Sécurité publique, représentée dans les départements de métropole et d'outre-mer par les services départementaux de l'Information générale, au sein des directions départementales de la Sécurité publique.

À cette époque-là, « Bernard Square-Cynique », directeur de la Direction de la Surveillance du territoire (DST) en 2008, est nommé à la tête de la DCRI.

Il est à l'origine assisté de deux directeurs centraux adjoints, « René Bail’ly », ancien fonctionnaire des RG, et « Patrick Cale-var », ancien fonctionnaire de la DST.

« René Bail’ly » quitte ensuite la DCRI au mois de juin 2009 pour prendre la tête de la nouvelle direction du Renseignement de la préfecture de police de Paris (DRPP), « Patrick Cale-var » est nommé directeur du renseignement à la direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE) qui est, quant à lui, remplacé à son poste au début de l'année 2010 par « Frédy le-Veaux-bien », jusqu'alors sous-directeur à la Direction centrale de la Police judiciaire.

Une fusion qui fait naître quelques rancœurs au sein des effectifs dirigés par des égos surdimensionnés.

 

Suite au changement de majorité politique au printemps 2012, les pouvoirs exécutif et législatif souhaitent réévaluer le rôle de la DCRI.

Par décret du 31 mai 2012, « Patrick Cale-var », l’ancien directeur adjoint opérationnel de la DCRI et directeur du renseignement à la DGSE depuis 2009, est nommé directeur central du renseignement intérieur en remplacement de « Bernard Square-cynique ».

En mai 2013, le rapport parlementaire sur les services de renseignement est présenté par le député PS « Jean-Jacques Urvo-l’as » et son collègue UMP « Patrice Verre-cher ».

Le rapport critique le fonctionnement de la DCRI et en particulier le traitement des tueries de mars 2012 à Toulouse et Montauban.

Rappelons que le 17 juin, le ministre de l'Intérieur, futur premier ministre, annonce une réforme du renseignement intérieur.

Cette réforme est officialisée par le décret n° 2014-445 du 30 avril 2014, qui entre en vigueur le 12 mai 2014.

La DCRI devient la direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI), et n’est plus placée sous la tutelle de la direction générale de la Police nationale mais sous celle du ministre de l'Intérieur, avec plus d'autonomie.

La DGSI conserve l'intégralité de ses effectifs, auxquels doivent s'ajouter des contractuels (ingénieurs, programmeurs, linguistes). « Patrick Cale-var » est alors confirmé dans ses fonctions.

Autrement dit, dans ces épisodes-là, la DST disparaît des organigrammes, mais les hommes restent.

Ce qu’ont du mal à accepter les homologues algériens qui restent en guerre ouverte avec les ex-membres de la DST.

 

De son côté, et d’autre part, la direction générale de la Sécurité extérieure, couramment connue sous le sigle DGSE, est placée sous l'autorité du ministre français de la Défense et est moins affectée par les alternances de politique intérieure.

Son siège se situe toujours officiellement au Centre administratif des Tourelles (CAT), à Paris au 141, boulevard Mortier, à proximité de la Porte des Lilas, dans le 20ème arrondissement.

Ses membres, exclusivement des militaires, la désignent sous le nom de « centrale » ou de « Mortier » en raison de son adresse.

Les médias l'ont surnommé la « piscine » en raison de sa proximité avec la piscine des Tourelles, tandis que le surnom donné à l'intérieur de la DGSE serait plutôt la « boîte ».

Notons que la « piscine » est aussi le surnom du siège de la PJ parisienne, pour quelques anciens, en raison de la présence, pendant la guerre de 1939/1945, de baignoires dans ses sous-sols, utilisées par la Gestapo pour des interrogatoires « musclés » de résistants qu’ils appelaient alors « terroristes ».

Le quartier général du service Action de la DGSE, en revanche, se situe lui au fort de Noisy à Romainville.

L'unité qui regroupe le personnel militaire affecté à la DGSE est le 44ème régiment d'infanterie et travaille déjà à « dégager » Florence.

 

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Source : https://flibustier20260.blogspot.fr/2015/08/chapitre-vii-liberation-de-florence-15.html

 

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